La Tour Havas à Puteaux : « une offre en adéquation avec le lieu »

La Tour Havas à Puteaux : « une offre en adéquation avec le lieu »

Conçu autour du concept « retour à nos racines », ce lieu hybride où restauration et rendez-vous de travail cohabitent harmonieusement !

 

Dire que le restaurant d’entreprise de la tour Havas à Puteaux (92) est un modèle en la matière n’est pas exagéré. Conçu autour du concept du « retour à nos racines », ce lieu hybride où restauration et rendez-vous de travail cohabitent harmonieusement a tout bon !

Partenaires de longue date, c’est naturellement qu’en 2021, Havas a fait appel à Sogeres pour concevoir la restauration de son restaurant d’entreprise flambant neuf. Adapté aux nouveaux modes de travail post-Covid, le lieu a été pensé et conçu pour et avec les collaborateurs. « Quand le menu ne plaît pas, les gens vont déjeuner ailleurs. Nous voulions faire revenir nos salariés. Nous avons donc choisi de leur proposer une offre d’hôtellerie d’entreprise à la hauteur », explique Arnaud Schmite, secrétaire général de Havas Village en France.

Le goût du détail de qualité

Le goût du détail de qualité

Entièrement rénové, l’espace est désormais un lieu de restauration et de rendez-vous de travail. « C’est la plus grande surface de la tour et elle n’était utilisée que deux heures par jour auparavant ! », souligne-t-il.
Dans ce projet d’envergure, rien n’a été laissé au hasard. Des meubles à l’acoustique en passant par les matériaux et la vaisselle, tout est pensé pour faire de ce lieu un endroit quasi idéal pour les collaborateurs. Pour Arnaud Schmite, l’équation est simple : « nous avions besoin d’une offre en adéquation avec le lieu ». Le restaurant baptisé Roots (racines) dit l’essentiel : une cuisine bonne, saine et locavore, tout en faisant un clin d’œil au jardin situé juste au-dessus et dont la conception a nécessité la suppression d’un parking

«Nous voulions faire revenir nos salariés. Nous avons donc choisi de leur proposer une offre d’hôtellerie d’entreprise à la hauteur.»

Arnaud Schmite, secrétaire général de Havas Village en France

Cuisine, snack et room-service

« Pour le restaurant de 380 places, c’est l’offre Signature qui a été tout naturellement choisie. », raconte Vincent Vandenberghe, directeur d’exploitation Sogeres, à la tête d’une équipe de 17 personnes. Une offre bistronomique conçue uniquement à partir de produits frais, de viande d’origine française, de poissons issus de la pêche responsable, de plats végétariens proposés tous les jours. Pour le plaisir des convives, deux cheffes pâtissières préparent les desserts en cuisine ouverte. Et le pain est livré tous les jours par un boulanger situé à quelques kilomètres de la tour !
L’espace restauration accueille également un bar à salades et un à grillades ainsi qu’une cafétéria ouverte de 8h à 18h30 qui sert boissons et snacking pour les petites faims. Déjà mis en place sur d’autres sites et restaurants Sogeres, un room-service est proposé aux collaborateurs qui souhaitent déjeuner à leur bureau ou pour des réunions. Disponible via une application digitale, il est également possible d’y passer commande pour l’organisation de différents évènements internes.

Le retour de la consigne

Le retour de la consigne

Sensible à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le groupe Havas a souhaité totalement supprimer le plastique au sein du restaurant. Un meuble de consignes a été installé pour les salariés qui souhaitent emporter des plats (entre 100 et 200 ventes/jour), ils peuvent ainsi rapporter les contenants en verre. Et pour lutter contre le gaspillage alimentaire, un frigo propose des plats invendus à moins 50 %. Avec les différents confinements et autres restrictions liés à la Covid, le restaurant n’a pu ouvrir complètement qu’en septembre 2022. Mais le résultat est au rendez-vous : « nous sommes passés de 33 % à 76 % de captation sur l’ensemble du bâtiment. Un très beau score donc sur lequel nous travaillons au quotidien avec Havas pour toujours proposer la meilleure expérience possible aux occupants de ce beau site ! », conclut Vincent Vandenberghe.

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